Preview Red Dead Redemption (multi)
Après un premier - long - contact avec le mode solo de Red Dead
Redemption, nous avons pu jouer au mode multijoueurs de ce qui s'annonce
comme un GTA western des plus réussis. Une comparaison qui s'impose
tant Rockstar a su adapter dans une autre époque ce qu'il sait faire de
mieux : un titre adulte au ton décalé mais à la narration soignée comme
jamais. GTA IV avait instauré le premier - vrai - multijoueurs de
l'histoire de la série. Une base assez solide sur laquelle Red Dead
Redemption va pouvoir s'appuyer pour offrir aux joueurs un multi capable
de les tenir longtemps, très longtemps, devant l'écran.
Même si quelques animations manquaient encore à l'appel dans la version sur laquelle nous avons essayé le mode multijoueurs, les qualités graphiques et physiques du jeu se confirment. À la limite, la seule interrogation qui pourrait subsister est le temps de latence quand la partie se joue sur Internet, et non en LAN comme ce fut le cas lors de cette présentation. Mais, à n'en pas douter, il ne sera que très peu perturbant. Dans GTA IV, le « lag » n'intervient que lorsque des joueurs évoluent avec une mauvaise connexion. Dans le « free mode », on pourra rester groupés ou se disperser partout dans la carte en faisant son petit bonhomme de chemin sans que cela ne se ressente sur la stabilité de la partie. Cependant, 16 joueurs maximum ça peut quand même sembler léger, d'autant plus que la version PC de GTA IV avait permis des parties à 32. Peut-être que cela sera le cas sur une hypothétique version PC de Red Dead Redemption.
Au niveau de la jouabilité, absolument tout est issu du mode solo. Les commandes ne changent pas d'un pouce et aucune restriction n'est faite sur l'environnement. L'intégralité de la map demeure ouverte (pénétrer à l'intérieur des bâtiments reste possible) et il n'y a aucun temps d'adaptation pour le multijoueurs, il faut simplement s'habituer à des adversaires plus mobiles et fourbes que l'I.A. : rien ne vaut la sournoiserie d'un adversaire humain ! Pour le lock, il faut oublier cette espèce de visée mécanique de GTA IV qui fait que l'on peut continuer de tenir en joue un opposant derrière un mur. Là, il faut l'avoir dans son champ visuel, et tirer avant qu'un mouvement trop rapide de la part de la cible ne vous détache de la visée automatique. Le joueur est constamment obligé de maintenir ajusté son angle de tir, ce qui rend le gunfight plus haletant !
Lors de la présentation, nous n'avons pu jouer qu'à quelques modes spécifiques. Dans les « deathmatch » (en équipe ou en chacun pour soi), chaque ennemi tué rapporte sa petite somme d'argent, le(s) gagnant(s) étant celui (ou ceux) qui ont le plus d'argent à la fin du temps imparti. Plus cocasse, le « gold rush » permet de varier un peu le genre « capture the flag ». En équipe, il s'agit de récupérer le butin des adversaires sans que ces derniers n'en fassent autant avant vous. Et tout est bon pour défendre sa position : snipers, gatlings, dynamite. En solo, c'est carrément de la traîtrise massive. Chaque participant devant rapporter des sacs d'or au coffre le plus proche pour les encaisser. Cesdits sacs, pouvant être encaissés dans n'importe quel coffre, deviennent alors la convoitise des campeurs, ces derniers étant eux-mêmes les cibles de traqueurs. Si encaisser un sac d'or assure un pécule significatif, un tir entre les deux yeux rapporte aussi son lot de dollars. C'est nerveux, c'est fourbe, c'est drôle. C'est Rockstar quoi !
Guillaume_C.
/ Kevin
Jeuxvideo.fr
...Toi, tu creuses !
Comme pour GTA IV, et ça ne sera une surprise pour personne, l'intégralité de la carte de jeu du mode solo est jouable en multijoueurs. En clair, des kilomètres carrés de forêt, de déserts plus ou moins arides, de hauts plateaux, de villes et villages, sur lesquels on pourra évoluer entre amis. Et contrairement au titre où l'on parcoure Liberty City, le cumul des gains en multijoueurs ne fait pas qu'indiquer un niveau et débloquer de nouveaux costumes pour personnaliser votre avatar. Il comprend également l'ajout de nouvelles armes et améliorations. Toutefois, pour ne pas que les parties soient déséquilibrées entre les nouveaux arrivants et les spécialistes de la gâchette, les nouvelles armes plus puissantes ne seront accessibles que dans le « free mode ». Ce dernier offre néanmoins la possibilité de remplir quelques missions aléatoires comme dans le mode solo (prise de banque, défense d'une diligence, etc.).Même si quelques animations manquaient encore à l'appel dans la version sur laquelle nous avons essayé le mode multijoueurs, les qualités graphiques et physiques du jeu se confirment. À la limite, la seule interrogation qui pourrait subsister est le temps de latence quand la partie se joue sur Internet, et non en LAN comme ce fut le cas lors de cette présentation. Mais, à n'en pas douter, il ne sera que très peu perturbant. Dans GTA IV, le « lag » n'intervient que lorsque des joueurs évoluent avec une mauvaise connexion. Dans le « free mode », on pourra rester groupés ou se disperser partout dans la carte en faisant son petit bonhomme de chemin sans que cela ne se ressente sur la stabilité de la partie. Cependant, 16 joueurs maximum ça peut quand même sembler léger, d'autant plus que la version PC de GTA IV avait permis des parties à 32. Peut-être que cela sera le cas sur une hypothétique version PC de Red Dead Redemption.
« Le joueur est constamment obligé de maintenir ajusté son angle de tir, ce qui rend le gunfight plus haletant ! »
L'interface est similaire à ce qu'avait fait Rockstar pour son dernier Grand Theft Auto. C'est le « leader » de la partie qui détermine le type de manche à jouer et les autres peuvent manifester leur approbation et leur mécontentement via un bref système de vote. Une fois ce choix effectué, quelques secondes sont laissées aux joueurs, le temps qu'ils fassent leurs réglages personnels. La partie commence façon duel d'un western. Sauf que dans Red Dead Redemption tous les participants se font face ! De façon individuelle ou en équipe selon le mode de jeu. Une mêlée instantanée de tirs qui permet de gagner un peu d'argent comptant pour le score final. Les perdants de cette courte - mais intense - phase « respawnent » et se lancent dans la partie, cette dernière reprenant un déroulement plus classique.Au niveau de la jouabilité, absolument tout est issu du mode solo. Les commandes ne changent pas d'un pouce et aucune restriction n'est faite sur l'environnement. L'intégralité de la map demeure ouverte (pénétrer à l'intérieur des bâtiments reste possible) et il n'y a aucun temps d'adaptation pour le multijoueurs, il faut simplement s'habituer à des adversaires plus mobiles et fourbes que l'I.A. : rien ne vaut la sournoiserie d'un adversaire humain ! Pour le lock, il faut oublier cette espèce de visée mécanique de GTA IV qui fait que l'on peut continuer de tenir en joue un opposant derrière un mur. Là, il faut l'avoir dans son champ visuel, et tirer avant qu'un mouvement trop rapide de la part de la cible ne vous détache de la visée automatique. Le joueur est constamment obligé de maintenir ajusté son angle de tir, ce qui rend le gunfight plus haletant !
« Si encaisser un sac d'or assure un pécule significatif, un tir entre les deux yeux rapporte aussi son lot de dollars »
Pour s'aider à se repérer dans les vastes contrées de Red Dead Redemption, on bénéficie d'un radar, qui représente peut-être la seule erreur anachronique du jeu (mais vu la taille des environnements, c'est vital pour ne pas se perdre). En multi, son utilité est la même, mais vous ne pouvez pas y voir vos adversaires en permanence. En effet, pour les repérer, il faut que ces derniers fassent du bruit. Soit en tirant, soit en courant un peu trop vite sur des sols bruyants, soit en reversant un élément du décor. Se déplacer trop maladroitement est donc à proscrire, « le campeur » s'avère d'une certaine façon avantagé, mais il trahit sa présence dès qu'une balle fuse. Et il ne demeure pas à l'abri d'une approche discrète qui ne peut que le surprendre s'il a trop confiance en ses capacités de guetteur.Lors de la présentation, nous n'avons pu jouer qu'à quelques modes spécifiques. Dans les « deathmatch » (en équipe ou en chacun pour soi), chaque ennemi tué rapporte sa petite somme d'argent, le(s) gagnant(s) étant celui (ou ceux) qui ont le plus d'argent à la fin du temps imparti. Plus cocasse, le « gold rush » permet de varier un peu le genre « capture the flag ». En équipe, il s'agit de récupérer le butin des adversaires sans que ces derniers n'en fassent autant avant vous. Et tout est bon pour défendre sa position : snipers, gatlings, dynamite. En solo, c'est carrément de la traîtrise massive. Chaque participant devant rapporter des sacs d'or au coffre le plus proche pour les encaisser. Cesdits sacs, pouvant être encaissés dans n'importe quel coffre, deviennent alors la convoitise des campeurs, ces derniers étant eux-mêmes les cibles de traqueurs. Si encaisser un sac d'or assure un pécule significatif, un tir entre les deux yeux rapporte aussi son lot de dollars. C'est nerveux, c'est fourbe, c'est drôle. C'est Rockstar quoi !
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