Test de Mass Effect 2 : l'aventure/action selon Bioware !
Plus beau, plus varié et plus porté vers l'action que son prédécesseur, Mass Effect 2 propose un voyage intersidéral de qualité sur Xbox 360, PC et PS3.
Un peu plus de deux ans après la sortie de Mass Effect, premier du nom, sur Xbox 360, le deuxième épisode pointe enfin le bout de son nez sur la console de Microsoft, mais aussi sur PC. Une fois encore, nous allons devoir parcourir la galaxie aux côtés du Commandant Shepard, toujours là pour donner un petit coup de main aux races extraterrestres en détresse.
À bord d’un Normandy nouvelle génération, en compagnie de quelques anciens amis, Shepard se lance alors dans une quête qui risque bien de lui couter la vie. Fort du soutien de Cerberus (la mystérieuse organisation), le commandant doit avant tout monter une équipe de choc, capable de mettre à mal les défenses ennemies. Nous voilà donc embarqués pour une mission périlleuse au cours de laquelle nous allons tout faire pour gagner la loyauté de nos futurs alliés. L’humain Jacob Taylor, la probatrice Asari Samara, le Krogan Grunt, ou encore le Drell Thane Krios, ils vont tous, à un moment ou à un autre, apporter leur pierre à l’édifice. À nous ensuite de faire en sorte qu’ils soient placés dans les meilleures conditions, et de tirer profit de la classe de chacun, et donc des armes et pouvoirs biotiques qui leur sont propres...
En effet, nous en sommes réduits à simplement gérer l’évolution des pouvoirs biotiques de notre compagnon de route et de ses alliés, à chaque changement de niveau. Pour le reste, tout se passe dans le laboratoire, pour la création des améliorations, ou encore en début de mission pour le choix de notre équipe et bien entendu du lot d’armes que nous emportons. Ensuite, ne comptez même pas en changer en cours de route, car ici, l’inventaire a complètement disparu. Seules quelques bornes, placées à bon escient, nous permettent alors de revoir notre stratégie, mais c’est tout.
Pourtant, si l’aspect « jeu de rôle » à quasiment disparu de Mass Effect 2, ce qui n’est pas pour déplaire à votre serviteur, d’autres éléments on fait leur apparition, et pas forcément des moins contraignants. En effet, nous devons désormais gérer au mieux notre carburant lors de nos déplacements, mais aussi perdre pas mal de temps à scanner les planètes à la recherche de métaux rares (Élément Zéro, Palladium, Iridium, Platine), un passage obligé si nous voulons lancer la création de nouvelles améliorations dans le laboratoire (armes, armures, prototypes, etc.), de petites choses qui, une fois acquises, vont nous permettre de prendre le dessus lors des nombreuses missions qui nous sont proposées.
Car même si nous allons parfois effectuer quelques filatures ou séances de séduction, nous passons le plus clair de notre temps à tirer sur tout ce qui bouge. Intenses, bercées par une musique d’ambiance toujours à propos, les phases d’action rythment notre quotidien, au point de nous en faire oublier tout le côté aventure du titre de BioWare. Ici, chacun des choix que nous aurons faits au préalable à son importance : de la classe du Commandant Shepard (Ingénieur, Adepte, Sentinelle, Soldat, etc.), en passant par le choix des alliés et des armes que nous voulons emporter. Coriaces, et déterminés, et surtout complètement idiots, les ennemis que nous croisons ne nous posent pas de réels problèmes, à condition bien sûr, de mettre à mal leur défense et de briser leur bouclier à l’aide des pouvoirs biotiques adéquats.
Nous progressons donc assez facilement dans des couloirs jonchés d’éléments de décors nous permettant de nous mettre à couvert, une petite chose qu’il ne faut pas négliger, surtout lorsque nous nous retrouvons seul face à une horde d’ennemis. La faute, à la réaction de nos équipiers qui ont la fâcheuse tendance à foncer dans le tas. Certes, nous pouvons leur intimer l’ordre de garder une position, ou encore les soigner en cas de besoin, mais ils ont toujours tendance à n’en faire qu’à leur tête. Nous nous retrouvons donc souvent obligés de gérer seuls la situation, en utilisant nos propres pouvoirs, voire en demandant à nos alliés du moment d’utiliser l’un des leurs sur l’ennemi que nous venons de cibler. L’utilisation de la roue des pouvoirs à bon escient nous permet surtout de souffler un peu, le jeu étant mis en pause à ce moment-là, et donc de tout mettre en œuvre pour venir à bout de nos adversaires.
« Mais alors, tout est beau, tout est rose, dans le monde magique de Mass Effect 2 ! » me direz-vous. Eh bien non ! En effet, comme souvent de nos jours, il faut compter sur de nombreux bugs et petits défauts qui viennent entacher ce tableau idyllique. Parmi ceux-là, il nous faut retenir divers problèmes d'affichages sur PC comme sur Xbox 360 alors que la version console doit aussi faire avec des temps de chargement souvent longs et pénibles, surtout lorsque nous sommes obligés de recommencer un niveau plusieurs fois de suite. Citons également le manque de vie des zones de jeu (les PNJs sont trop figés), la mollesse de certaines voix françaises, la faiblesse de l'intelligence artificielle et un jeu trop « balisé », la faute sans doute aux nombreux couloirs.
Pourtant, force est de constater que tous ces petits désagréments ne nous empêchent pas de prendre du plaisir, manette ou souris en main. La richesse de l’univers proposé, les phases de dialogues dynamiques aux choix multiples ayant souvent un impact sur le déroulement des évènements, ou encore le temps que nous allons passer à explorer les moindres recoins de la galaxie nous poussent à passer des heures devant l’écran, sans que nous nous en rendions vraiment compte... Cerise sur le gâteau des joueurs PC : Mass Effect 2 - tout en étant plus joli - est moins gourmand que son prédécesseur !
Rappelons que ce réseau s'avère accessible grâce à l'usage d'un code (livré dans la boîte du jeu, mais à usage unique). Ce code est plutôt important puisqu'il donne également accès à une bande dessinée interactive signée Dark Horse Comics (éditeur de bd américain plutôt connu), dont le but est de nous narrer les évènements majeurs de Mass Effect 1. Une manière assez originale de compenser l'absence du jeu de BioWare sur la plateforme Sony. Plutôt jolie, doublée et déclinée en deux versions (en fonction du sexe de notre héros), cette dernière demeure malheureusement trop courte / condensée pour nous immerger suffisamment dans la narration. On appréciera tout de même que les passages cruciaux donnent lieu à des prises de décisions du joueur (donner le vaccin ou non, sauver le conseil...). Lesdits choix auront évidemment quelques incidences sur l'épopée du second volet. Si l'on débute l'histoire de Mass Effect 2, sans être passé par la case « bd » (c'est possible), il faudra faire avec les quelques choix prédéfinis par la console.
Notre brave PS3 n'est par ailleurs pas poussée dans ses retranchements au niveau de technique. Dans la forme, cette nouvelle version paraît en effet très proche de celle sur Xbox 360. Le crénelage demeure toujours assez perceptible, idem pour le scintillement. Seuls quelques effets visuels supplémentaires s'avèrent vraiment perceptibles (cf. captures ci-dessous). Par contre, Mass Effect 2 PS3 semble un petit peu moins fluide que sur Xbox 360 (et bien évidemment, bien moins fluide que sur PC). De même, contrairement au support de Microsoft, il faut obligatoirement installer pas moins de 5 Go de données avant de pouvoir se lancer dans l'aventure... soit environ 30 minutes d'attente supplémentaire. En compensation, les temps de chargement sont un peu plus courts. Rien d'alarmant non plus : malgré son âge et ses petites tares techniques, le bébé de BioWare est toujours plaisant à parcourir. Et c'est bien le principal.
Attention ! Un Shepard peut en cacher un autre
Deux années se sont écoulées depuis les évènements survenus dans le premier épisode. Shepard pensait pouvoir couler des jours heureux à bord du Normandy, mais c’était sans compter sur ce nouvel ennemi. Plus coriaces, plus déterminés, les Récolteurs n’hésitent pas à s’en prendre aux colonies humaines disséminées un peu partout à travers la galaxie. Mis à mal, blessé au plus profond de son Être, le Commandant Shepard se voit alors dans l’obligation de rejoindre une organisation mystérieuse qui consacre tout son temps et son argent à la sauvegarde de la race humaine.À bord d’un Normandy nouvelle génération, en compagnie de quelques anciens amis, Shepard se lance alors dans une quête qui risque bien de lui couter la vie. Fort du soutien de Cerberus (la mystérieuse organisation), le commandant doit avant tout monter une équipe de choc, capable de mettre à mal les défenses ennemies. Nous voilà donc embarqués pour une mission périlleuse au cours de laquelle nous allons tout faire pour gagner la loyauté de nos futurs alliés. L’humain Jacob Taylor, la probatrice Asari Samara, le Krogan Grunt, ou encore le Drell Thane Krios, ils vont tous, à un moment ou à un autre, apporter leur pierre à l’édifice. À nous ensuite de faire en sorte qu’ils soient placés dans les meilleures conditions, et de tirer profit de la classe de chacun, et donc des armes et pouvoirs biotiques qui leur sont propres...
Mass Effect 2, c'est un peu d’aventure et beaucoup d’action
Car il faut bien le dire, la part belle a été faite à l’action dans ce Mass Effect 2. Certes, il reste bien de nombreuses phases de dialogues dynamiques, pouvant être interrompues quand le scénario le permet de manière conciliatrice ou pragmatique, des choix ayant un impact sur le déroulement de l’aventure, ou encore quelques phases d’explorations, mais tout cela n’est rien à côté de l’intensité des nombreuses scènes d’action. Qu’il est donc loin le temps où nous passions des heures à bien choisir notre équipement (armes, armures, améliorations, etc.), avant de partir à l’assaut.En effet, nous en sommes réduits à simplement gérer l’évolution des pouvoirs biotiques de notre compagnon de route et de ses alliés, à chaque changement de niveau. Pour le reste, tout se passe dans le laboratoire, pour la création des améliorations, ou encore en début de mission pour le choix de notre équipe et bien entendu du lot d’armes que nous emportons. Ensuite, ne comptez même pas en changer en cours de route, car ici, l’inventaire a complètement disparu. Seules quelques bornes, placées à bon escient, nous permettent alors de revoir notre stratégie, mais c’est tout.
Pourtant, si l’aspect « jeu de rôle » à quasiment disparu de Mass Effect 2, ce qui n’est pas pour déplaire à votre serviteur, d’autres éléments on fait leur apparition, et pas forcément des moins contraignants. En effet, nous devons désormais gérer au mieux notre carburant lors de nos déplacements, mais aussi perdre pas mal de temps à scanner les planètes à la recherche de métaux rares (Élément Zéro, Palladium, Iridium, Platine), un passage obligé si nous voulons lancer la création de nouvelles améliorations dans le laboratoire (armes, armures, prototypes, etc.), de petites choses qui, une fois acquises, vont nous permettre de prendre le dessus lors des nombreuses missions qui nous sont proposées.
« Intenses, bercées par une musique d’ambiance toujours à propos, ces phases de jeu rythment notre quotidien »
Car même si nous allons parfois effectuer quelques filatures ou séances de séduction, nous passons le plus clair de notre temps à tirer sur tout ce qui bouge. Intenses, bercées par une musique d’ambiance toujours à propos, les phases d’action rythment notre quotidien, au point de nous en faire oublier tout le côté aventure du titre de BioWare. Ici, chacun des choix que nous aurons faits au préalable à son importance : de la classe du Commandant Shepard (Ingénieur, Adepte, Sentinelle, Soldat, etc.), en passant par le choix des alliés et des armes que nous voulons emporter. Coriaces, et déterminés, et surtout complètement idiots, les ennemis que nous croisons ne nous posent pas de réels problèmes, à condition bien sûr, de mettre à mal leur défense et de briser leur bouclier à l’aide des pouvoirs biotiques adéquats.
Nous progressons donc assez facilement dans des couloirs jonchés d’éléments de décors nous permettant de nous mettre à couvert, une petite chose qu’il ne faut pas négliger, surtout lorsque nous nous retrouvons seul face à une horde d’ennemis. La faute, à la réaction de nos équipiers qui ont la fâcheuse tendance à foncer dans le tas. Certes, nous pouvons leur intimer l’ordre de garder une position, ou encore les soigner en cas de besoin, mais ils ont toujours tendance à n’en faire qu’à leur tête. Nous nous retrouvons donc souvent obligés de gérer seuls la situation, en utilisant nos propres pouvoirs, voire en demandant à nos alliés du moment d’utiliser l’un des leurs sur l’ennemi que nous venons de cibler. L’utilisation de la roue des pouvoirs à bon escient nous permet surtout de souffler un peu, le jeu étant mis en pause à ce moment-là, et donc de tout mettre en œuvre pour venir à bout de nos adversaires.
Une réalisation de bonne facture, même si...
Malgré ces quelques imperfections, nous prenons tout de même beaucoup de plaisir à découvrir les différentes zones de jeu, toujours très variées et très agréables pour les yeux, et nous sommes loin ici de ce que nous proposait Mass Effect, premier du nom. Certes, tout est architecturé de manière à nous permettre d’évoluer assez facilement, mais ce qui en ressort nous pousse à vouloir en découvrir toujours plus. L’intensité des combats et la musique toujours là pour nous plonger un peu plus dans cette ambiance contribuent au plaisir que nous avons à passer quelques heures en compagnie du Commandant Shepard. Car, nous allons en passer du temps à discuter avec de nombreux personnages, alliés ou non, à scanner la moindre planète en quête de ressources ou d’anomalies (missions annexes - toujours très variées), ou encore à explorer les moindres recoins à la recherche de terminal à pirater, de coffres-forts à ouvrir, ou encore de caisses de munitions.« Mais alors, tout est beau, tout est rose, dans le monde magique de Mass Effect 2 ! » me direz-vous. Eh bien non ! En effet, comme souvent de nos jours, il faut compter sur de nombreux bugs et petits défauts qui viennent entacher ce tableau idyllique. Parmi ceux-là, il nous faut retenir divers problèmes d'affichages sur PC comme sur Xbox 360 alors que la version console doit aussi faire avec des temps de chargement souvent longs et pénibles, surtout lorsque nous sommes obligés de recommencer un niveau plusieurs fois de suite. Citons également le manque de vie des zones de jeu (les PNJs sont trop figés), la mollesse de certaines voix françaises, la faiblesse de l'intelligence artificielle et un jeu trop « balisé », la faute sans doute aux nombreux couloirs.
Pourtant, force est de constater que tous ces petits désagréments ne nous empêchent pas de prendre du plaisir, manette ou souris en main. La richesse de l’univers proposé, les phases de dialogues dynamiques aux choix multiples ayant souvent un impact sur le déroulement des évènements, ou encore le temps que nous allons passer à explorer les moindres recoins de la galaxie nous poussent à passer des heures devant l’écran, sans que nous nous en rendions vraiment compte... Cerise sur le gâteau des joueurs PC : Mass Effect 2 - tout en étant plus joli - est moins gourmand que son prédécesseur !
Et la version PS3 ?
Environ un an après la Xbox 360 et le PC, la PS3 de Sony a elle aussi le droit d'accueillir le deuxième opus de la série Mass Effect. Le jeu demeure sensiblement identique dans le fond. Le gameplay est similaire et l'aventure ne comporte pas de passages scénarisés exclusifs. On apprécie tout de même la présence de trois contenus téléchargeables, vendus séparément sur les autres supports : Kasumi : La Mémoire Volée, Suprématie et Le Courtier De L'Ombre. Ils sont de plus directement inclus sur le Blu-Ray ; inutile de faire chauffer la connexion internet, qui fonctionnera malgré tout si vous souhaitez acquérir le contenu additionnel disponible dans le réseau Cerberus.Rappelons que ce réseau s'avère accessible grâce à l'usage d'un code (livré dans la boîte du jeu, mais à usage unique). Ce code est plutôt important puisqu'il donne également accès à une bande dessinée interactive signée Dark Horse Comics (éditeur de bd américain plutôt connu), dont le but est de nous narrer les évènements majeurs de Mass Effect 1. Une manière assez originale de compenser l'absence du jeu de BioWare sur la plateforme Sony. Plutôt jolie, doublée et déclinée en deux versions (en fonction du sexe de notre héros), cette dernière demeure malheureusement trop courte / condensée pour nous immerger suffisamment dans la narration. On appréciera tout de même que les passages cruciaux donnent lieu à des prises de décisions du joueur (donner le vaccin ou non, sauver le conseil...). Lesdits choix auront évidemment quelques incidences sur l'épopée du second volet. Si l'on débute l'histoire de Mass Effect 2, sans être passé par la case « bd » (c'est possible), il faudra faire avec les quelques choix prédéfinis par la console.
Notre brave PS3 n'est par ailleurs pas poussée dans ses retranchements au niveau de technique. Dans la forme, cette nouvelle version paraît en effet très proche de celle sur Xbox 360. Le crénelage demeure toujours assez perceptible, idem pour le scintillement. Seuls quelques effets visuels supplémentaires s'avèrent vraiment perceptibles (cf. captures ci-dessous). Par contre, Mass Effect 2 PS3 semble un petit peu moins fluide que sur Xbox 360 (et bien évidemment, bien moins fluide que sur PC). De même, contrairement au support de Microsoft, il faut obligatoirement installer pas moins de 5 Go de données avant de pouvoir se lancer dans l'aventure... soit environ 30 minutes d'attente supplémentaire. En compensation, les temps de chargement sont un peu plus courts. Rien d'alarmant non plus : malgré son âge et ses petites tares techniques, le bébé de BioWare est toujours plaisant à parcourir. Et c'est bien le principal.
Conclusion :
Qu’il est difficile de le caser dans la catégorie jeu de rôle, jeu d’aventure, ou encore jeu d’action. Mass Effect 2 est un peu de tout ceci à la fois. Tout ce qu’il fait, il le fait plutôt bien, sans pour autant faire sa révolution. Alors que retenir du titre de Bioware ? Et bien, que malgré quelques petits défauts pas forcément gênant, son ambiance générale du tonnerre, un plaisir de jeu omniprésent, sa prise en main intuitive, et sa durée de vie exceptionnelle en font un titre à ne pas manquer que ce soit sur Xbox 360 ou PC. Mass Effect 2 se savoure avec délectation… Un jeu sur lequel nous n’aurons pas de mal à revenir, en attendant la fin de la trilogie avec Mass Effect 3.
Les +
- Un univers riche, environnements variés
- Réalisation d'ensemble de très bonne qualité
- Une très bonne durée de vie
- Une bonne rejouabilité
- de nombreux rappels au premier épisode
- La possibilité d'importer son Shepard de Mass Effect...
Les -
- ... ce qui n'apporte pas grand chose au final
- Une suite, peut-être un peu trop orientée action
- Le côté > trop simplifié
- Temps de chargement longs et pénibles
- Intelligence Artificielle perfectible
9.0/10
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