Le studio français Monte Cristo n'est pas au mieux
La fin de l'option planète de Cities XL a été un coup du pour
l'équipe qui cherche maintenant un repreneur.
En lançant le projet Cities XL, Monte Cristo avait misé gros et comme le soulignait Jérôme Gastaldi - PDG du studio - il y a un an, le budget du jeu (9 millions d'euros) était un investissement majeur pour l'équipe. Un investissement qui ne s'est hélas pas traduit par des ventes suffisantes aux yeux des dirigeants.
Comme le soulignent nos confrères de Gamekult, il n'est pour l'heure pas question de restructurer la structure française du studio, mais l'antenne ukrainienne basée à Kiev a déjà connu des licenciements. Il faut dire que l'assise financière de Cities XL reposait en grande partie sur l'option « Planète » (un système d'abonnements) à laquelle les joueurs n'ont pas adhéré et que le studio a interrompue en début d'année.
Du côté de Monte Cristo, on ne peut pas dramatiser et officiellement, on est à la recherche d'un repreneur alors que Jérôme Gastladi continue à croire en son city-builder. À nos confrères, le PDG du studio précise qu'il est question d'une « feuille de route à deux ans » pour Cities XL et que des « gens s'intéressent à la société ».
En lançant le projet Cities XL, Monte Cristo avait misé gros et comme le soulignait Jérôme Gastaldi - PDG du studio - il y a un an, le budget du jeu (9 millions d'euros) était un investissement majeur pour l'équipe. Un investissement qui ne s'est hélas pas traduit par des ventes suffisantes aux yeux des dirigeants.
Comme le soulignent nos confrères de Gamekult, il n'est pour l'heure pas question de restructurer la structure française du studio, mais l'antenne ukrainienne basée à Kiev a déjà connu des licenciements. Il faut dire que l'assise financière de Cities XL reposait en grande partie sur l'option « Planète » (un système d'abonnements) à laquelle les joueurs n'ont pas adhéré et que le studio a interrompue en début d'année.
Du côté de Monte Cristo, on ne peut pas dramatiser et officiellement, on est à la recherche d'un repreneur alors que Jérôme Gastladi continue à croire en son city-builder. À nos confrères, le PDG du studio précise qu'il est question d'une « feuille de route à deux ans » pour Cities XL et que des « gens s'intéressent à la société ».
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